Toutes les histoires ci-dessous sont vraies. Seuls les noms ont été modifiés afin de préserver la vie privée
L'histoire de Lynn
Lynn est réceptionniste. À 38 ans, elle avait des raideurs dans le millieu du dos, qui montaient dans le cou et les épaules. Sa compagne de travail me la référa afin de déterminer si la chiropratique pouvait la soulager. À l’anamnèse, elle m’a confié qu’elle avait souvent mal à la tête et des engourdissement dans les mains, qui étaient diagnostiquées par un médecin comme étant un problème de ‘tunnel carpien’. L’ examen orthopédique et neurologique de Lynn était normal. À l’examen chiropratique, j’ai trouvé que la deuxième vertèbre cervicale (dans le haut du cou) était subluxée, c’est-à-dire tournée vers la droite; dans les hautes dorsales, la quatrième vertèbre était fixée et le bassin ne bougeait pas bien, surtout en flexion. Lynn a donc décidé de commencer un traitement chiropratique qui comprend des ajustements doux et spécifiques de sa colonne, des conseils de posture et une prescription d’exercices. Après le premier ajustement, la douleur au millieu du dos avait disparue! Ses autres symptômes, incluant les engourdissements dans les mains, se sont éclipsés graduellement. Aujourd’hui, Lynn est suivie en prévention en chiropratique. Elle a recommencé à s’entrainer, et ne ressent plus de raideurs dans le millieu de son dos. L’histoire de Lynn est typique mais elle n’est qu’un exemple parmi les centaines que la chiropratique peut aider.
Lynn est réceptionniste. À 38 ans, elle avait des raideurs dans le millieu du dos, qui montaient dans le cou et les épaules. Sa compagne de travail me la référa afin de déterminer si la chiropratique pouvait la soulager. À l’anamnèse, elle m’a confié qu’elle avait souvent mal à la tête et des engourdissement dans les mains, qui étaient diagnostiquées par un médecin comme étant un problème de ‘tunnel carpien’. L’ examen orthopédique et neurologique de Lynn était normal. À l’examen chiropratique, j’ai trouvé que la deuxième vertèbre cervicale (dans le haut du cou) était subluxée, c’est-à-dire tournée vers la droite; dans les hautes dorsales, la quatrième vertèbre était fixée et le bassin ne bougeait pas bien, surtout en flexion. Lynn a donc décidé de commencer un traitement chiropratique qui comprend des ajustements doux et spécifiques de sa colonne, des conseils de posture et une prescription d’exercices. Après le premier ajustement, la douleur au millieu du dos avait disparue! Ses autres symptômes, incluant les engourdissements dans les mains, se sont éclipsés graduellement. Aujourd’hui, Lynn est suivie en prévention en chiropratique. Elle a recommencé à s’entrainer, et ne ressent plus de raideurs dans le millieu de son dos. L’histoire de Lynn est typique mais elle n’est qu’un exemple parmi les centaines que la chiropratique peut aider.
L'histoire de Michèle
Michèle, une dame de 56 ans, est arrivée à mon bureau incapable de marcher seule.
Elle souffrait d’une douleur extrême au bas du dos, constante, surtout à gauche, qui descendait dans sa jambe gauche, jusqu’au pied, qui n’avait plus de force. Sa douleur l’incommodait depuis 10 ans, mais s’était empirée beaucoup depuis qu’elle avait fait un faux mouvement. Elle avait déjà reçu 3 injections dans le bas du dos.
Le rapport radiologique indiquait beaucoup de dégénérescence au niveau des disques intervertébraux, surtout dans les basses lombaires. L’examen fût bien difficile à effectuer, étant donnée la grande douleur et la limitation de mouvement extrême. J’ai tout de même put déterminer que la vertèbre responsable de ses douleurs était L4, qui était tournée vers la gauche, ce qui irritait les nerfs de ma patiente.
Je n’ai ajusté que cette vertèbre lors de la première visite. Déjà, le lendemain, Michèle avait une amélioration de 50%! J’ai donc pu procéder à un examen plus complet, et ajuster les autres vertèbres désalignées, dont la base de la colonne, le sacrum qui était penché vers la gauche et C2, qui était postérieure.
Aujourd’hui, Michèle est suivie en prévention, afin d’optimiser sa santé et de s’assurer de conserver sa colonne fonctionnant le mieux possible. Ses douleurs au dos sont pratiquement disparues et son pied, bien qu’encore fragile, a retrouvé sa force normale!
Michèle, une dame de 56 ans, est arrivée à mon bureau incapable de marcher seule.
Elle souffrait d’une douleur extrême au bas du dos, constante, surtout à gauche, qui descendait dans sa jambe gauche, jusqu’au pied, qui n’avait plus de force. Sa douleur l’incommodait depuis 10 ans, mais s’était empirée beaucoup depuis qu’elle avait fait un faux mouvement. Elle avait déjà reçu 3 injections dans le bas du dos.
Le rapport radiologique indiquait beaucoup de dégénérescence au niveau des disques intervertébraux, surtout dans les basses lombaires. L’examen fût bien difficile à effectuer, étant donnée la grande douleur et la limitation de mouvement extrême. J’ai tout de même put déterminer que la vertèbre responsable de ses douleurs était L4, qui était tournée vers la gauche, ce qui irritait les nerfs de ma patiente.
Je n’ai ajusté que cette vertèbre lors de la première visite. Déjà, le lendemain, Michèle avait une amélioration de 50%! J’ai donc pu procéder à un examen plus complet, et ajuster les autres vertèbres désalignées, dont la base de la colonne, le sacrum qui était penché vers la gauche et C2, qui était postérieure.
Aujourd’hui, Michèle est suivie en prévention, afin d’optimiser sa santé et de s’assurer de conserver sa colonne fonctionnant le mieux possible. Ses douleurs au dos sont pratiquement disparues et son pied, bien qu’encore fragile, a retrouvé sa force normale!